Le Salon Fourchette bleue – poissons et fruits de mer : un événement fondateur
Les 22 et 23 février 2022 se tenait le Salon Fourchette bleue – poissons et fruits de mer. Organisé par Exploramer, une institution muséale à vocation scientifique et pédagogique localisée dans l’Est-du-Québec, cet événement a ouvert un nouveau chapitre dans l’histoire des pêches au Québec.
Sandra Autef, rigueur et passion en cannes
Aujourd’hui, Chasse-Marée parie sur des saveurs du Saint-Laurent, à partir de deux mollusques : le bourgot et la mactre de Stimpson. L’entreprise proposera des aliments prêts à manger, festifs, capables de patienter dans les garde-manger en dehors des saisons de capture.
Aquaculture : Où en est le Québec ?
Le Québec n’est responsable que de 1% de la production aquacole du Canada. Comment expliquer cette position ? Nous sommes partis chercher des réponses.
« On est trois et on a la foi!» Le Bas-Saint-Laurent accueillera une nouvelle conserverie
Chasse-Marée voit le jour en 2016. L’entreprise rimouskoise, qui commercialise en circuit court des espèces du Saint-Laurent dans les établissements gastronomiques, a pour mission de leur fournir des produits de qualité irréprochable, et d’assurer une traçabilité parfaite.
L’état des pêches en temps de pandémie
La pandémie de COVID-19 a entraîné des enjeux colossaux pour le secteur de la pêche commerciale au crabe, homard et crevette, notamment le retard de la saison de pêche, la baisse des prix à la sortie des bateaux, l’incertitude des marchés d’exportation, ainsi que les normes de santé et de sécurité sur les navires et dans les usines de transformation
Des huîtres pour Noël
L’identification et la traçabilité : un défi et une solution pour mettre en valeur les poissons et fruits de mer du Saint-Laurent
Si l’on désire que plus de poissons et fruits de mer du Saint-Laurent se retrouvent dans l’assiette des Québécois, il est essentiel que ceux-ci puissent facilement les identifier à l’étape de leurs achats. Pourtant, à l’heure actuelle, les consommateurs possèdent peu de moyens fiables pour repérer les produits marins locaux.
Esturgeon noir, esturgeon jaune, des pêches artisanales qui perdurent dans le Saint-Laurent
Les coopératives de pêcheurs au Québec : un précédent inspirant pour ouvrir les perspectives (partie 2/2)
Les coopératives de pêcheurs au Québec : un précédent inspirant pour ouvrir les perspectives (partie 1/2)
Comment l’économie des pêches pourrait-elle davantage contribuer au développement des communautés côtières du Québec maritime ?
La cueillette de plantes de bord de mer, un savoir-faire ancestral.
La cueillette de provisions destinés à l’alimentation peut prendre diverses formes, par exemple la cueillette de fruits sauvages, de champignons, de fleurs, etc. De plus, bien que le peuple micmac avait une alimentation basée davantage sur la viande et le poisson, ceux-ci auraient bien subsister grâce à l’apport significatif de plantes dans leur alimentation. Cela dit, dans l’objectif de démocratiser les produits comestibles du Saint-Laurent, le présent article porte sur les plantes de bord de mer et leurs origines ancestrales autochtones.
Coureuses-cueilleuses de battures et de bords de mer
Arroche hastée, céloplèvre brillante, caquiller édentulé, hiérochloé odorante, sabline, ces mots révèlent des mystères. Ensuite, se pose un constat : on sait bien peu de choses du Saint-Laurent, de ses fonds marins tout autant que de ses grèves et des plantes qui les habitent. Leurs noms précis sont passés dans le vocabulaire sous leurs vocables usuels : épinard de mer, céleri de mer, chou poivré des dunes, foin d’odeur, pourpier des plages.