Pêcheries

Pourquoi on ne mange pas notre Saint-Laurent?

Sandra Autef, rigueur et passion en cannes

Aujourd’hui, Chasse-Marée parie sur des saveurs du Saint-Laurent, à partir de deux mollusques : le bourgot et la mactre de Stimpson. L’entreprise proposera des aliments prêts à manger, festifs, capables de patienter dans les garde-manger en dehors des saisons de capture.

L’autonomie alimentaire du Québec : savoir d’où ça vient pour savoir où l’on va (partie 2/4)

Nous proposons dans la présente fiche de remonter le fil historique ayant conduit à l’émergence de la notion d’autonomie alimentaire.

Aquaculture : Où en est le Québec ?

Le Québec n’est responsable que de 1% de la production aquacole du Canada. Comment expliquer cette position ? Nous sommes partis chercher des réponses.

« On est trois et on a la foi!» Le Bas-Saint-Laurent accueillera une nouvelle conserverie

Chasse-Marée voit le jour en 2016. L’entreprise rimouskoise, qui commercialise en circuit court des espèces du Saint-Laurent dans les établissements gastronomiques, a pour mission de leur fournir des produits de qualité irréprochable, et d’assurer une traçabilité parfaite.

L’économie des pêches au Québec : quatre propositions pour favoriser la commercialisation des produits marins du Québec sur le marché domestique (partie 2/2)

Cette seconde d’une série de deux fiches économiques présente en quelques lignes les tenants et aboutissants d’un rapport de recherche sur l’économie des pêches au Québec de l’IRÉC, publié par le RQM en décembre dernier.
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