Barbotte brune

Barbotte brune
Ameiurus nebulosus
Brown bullhead
Tronçon fluvialEstuaire fluvial

Statut de la ressource

Non déterminé
!
L'information sur le statut de cette espèce n'est pas disponible dans le Registre public des espèces en péril du Canada.
État de la ressource :

L'espèce ne fait pas partie du Registre public des espèces en péril du Gouvernement du Canada.

Méthodes de cueillette/pêche

La barbotte brune est pêchée de façon commerciale dans certains secteurs du Saint-Laurent. Elle est aussi pêchée de façon récréative à la ligne morte. Vérifiez les règlements et les permis si vous voulez vous adonner à la pêche récréative.

Contaminants

Ce poisson ne présente généralement pas de concentrations importantes de métaux toxiques (c.-à-d. mercure, cadmium).

Comme pour les autres poissons, sa cuisson élimine la présence éventuelle de microorganismes pathogènes comme les parasites. Il importe cependant de s’assurer de sa fraîcheur.

Pour les mets consommés crus, comme les sushis, les bols de poké et le ceviche, assurez-vous de n'utiliser que du poisson frais et de bonne qualité pour éviter la présence de microorganismes pathogènes nuisibles. Il est aussi fortement recommandé de préalablement congeler le poisson (-20 °C pour 7 jours), car la congélation détruit également la grande majorité des parasites.

Mais bonne nouvelle, les biotoxines ne s’accumulent pas dans le poisson !

Propriétés gustatives

Texture : Ferme.

Comment l'apprêter

Cuisson

La barbotte est le poisson servant traditionnellement à faire la fameuse gibelotte de la région de Sorel-Tracy, une soupe faite d'un bouillon aux tomates, d'une macédoine de légumes, et de poisson, le plus souvent de la barbotte ou de la perchaude.

ConservationLa barbotte est vendue entière ou sous forme de filets, plus souvent fraîche et surgelée.

Nutrition

Bénéfices particuliers

Information sur les valeurs nutritives non disponible.

Recommandations pour les jeunes enfantsPour les enfants en bas âge, il faut éviter de consommer des poissons crus ou partiellement cuits. Mais, a priori, il n'y aurait pas de restrictions de quantité spécifiques à ce poisson.
Recommandations pour les femmes enceintes ou allaitantes Pour les femmes enceintes ou allaitantes, il faut éviter de consommer des poissons crus ou partiellement cuits. Mais, a priori, il n'y aurait pas de restrictions de quantité spécifiques à ce poisson.
Références

Merci à Mélanie Lemire (ULaval), Yannick Ouellet (Chef) et Louis-Charles Rainville (DSP Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine) pour leur aide à l’écriture et à la révision de cette fiche, écrite par Catherine Fallon.

Références de cette fiche :