Dany Dumont et Colombe St-Pierre à l’émission Même fréquence pour parler de Je suis Saint-Laurent
Il y a présentement un intérêt grandissant quant à l’exploitation commerciale des produits du phoque gris (Halichoerus grypus) du golfe du Saint-Laurent. Alors que sa peau est vendue et que sa graisse est transformée en huile depuis de nombreuses années, il n’existe que peu de marchés pour la viande et les abats. Or, depuis une dizaine d’années, de petites entreprises aux Îles de la Madeleine offrent ces produits sauvages issus d’une pêche durable, contribuant à une saine gestion de cette ressource dans le Saint-Laurent.
Nous avons gagné un Laurier ! :-)
Il y a présentement un intérêt grandissant quant à l’exploitation commerciale des produits du phoque gris (Halichoerus grypus) du golfe du Saint-Laurent. Alors que sa peau est vendue et que sa graisse est transformée en huile depuis de nombreuses années, il n’existe que peu de marchés pour la viande et les abats. Or, depuis une dizaine d’années, de petites entreprises aux Îles de la Madeleine offrent ces produits sauvages issus d’une pêche durable, contribuant à une saine gestion de cette ressource dans le Saint-Laurent.
Mange ton Saint-Laurent à L’Avenir nous appartient
Il y a présentement un intérêt grandissant quant à l’exploitation commerciale des produits du phoque gris (Halichoerus grypus) du golfe du Saint-Laurent. Alors que sa peau est vendue et que sa graisse est transformée en huile depuis de nombreuses années, il n’existe que peu de marchés pour la viande et les abats. Or, depuis une dizaine d’années, de petites entreprises aux Îles de la Madeleine offrent ces produits sauvages issus d’une pêche durable, contribuant à une saine gestion de cette ressource dans le Saint-Laurent.
Pour une consommation éclairée du phoque gris
Il y a présentement un intérêt grandissant quant à l’exploitation commerciale des produits du phoque gris (Halichoerus grypus) du golfe du Saint-Laurent. Alors que sa peau est vendue et que sa graisse est transformée en huile depuis de nombreuses années, il n’existe que peu de marchés pour la viande et les abats. Or, depuis une dizaine d’années, de petites entreprises aux Îles de la Madeleine offrent ces produits sauvages issus d’une pêche durable, contribuant à une saine gestion de cette ressource dans le Saint-Laurent.